En cette veille d'ouverture après trois mois où les films ont cessé d'exister sur les grands écrans de salles de cinéma où ils révèlent leur vrai splendeur.
Le réveil, ce que le cinéma nous dit de cet état entre rêve et éveil, entre la réalité et ce que nous en voyons, entre ce que nous espérons et ce que nous désirons. Comment la représentation cinématographique révèle la vérité des sentiments qui nous saisissent qui se cristallisent sur l'image d'une personne qui semble nous échapper.
Laura, d'Otto Preminger, USA, 1944, avec Gene Tierney et Dana Andrews
Le Vincennes, le 21 juin 2020